Il n'y a aucun autre endroit où je voudrais aller
L'un est ingénieur chimiste, l'autre a étudié la biologie humaine et la sociologie, mais ils ont tous les deux choisi une carrière chez Kanthal, une entreprise dont ils n'avaient jamais entendu parler. Rencontrez les ingénieures de procédés Bryony Harper (image en haut de la page) et Helena Lockie, qui apprécient l'esprit d'équipe et la résolution de problèmes dans leur travail quotidien.
Comment êtes-vous arrivées chez Kanthal ?
Helena : J'ai vu une annonce de Kanthal recherchant un ingénieur des procédés, et j'ai voulu mettre en pratique ce que j'avais appris à l'université où j'ai étudié le génie chimique. Je n'ai pas eu beaucoup d'opportunités de le faire dans mon dernier emploi.
Bryony : J'ai trouvé ce poste sur LinkedIn. C'était un peu un changement de carrière pour moi, car j'avais étudié la biologie humaine, la sociologie et la psychologie à l'université, mais je n'étais pas certaine de ce que je voulais faire. Quand j'ai vu l'annonce pour un poste de stagiaire technicien qualité, je me suis dit, pourquoi pas ? Je vais postuler et voir où cela mène. C'était il y a six ans. Depuis que j'ai commencé ici, j'ai obtenu un diplôme en ingénierie, et je suis ingénieure de procédés depuis les trois dernières années.
Connaissiez-vous Kanthal avant de venir ici ?
Helena : Non pas du tout. Mais avant l'entretien, j'ai fait des recherches, et lors de l'entretien, tout le monde était si sympathique, que cela rendait tout si intéressant et excitant.
Bryony : Je n'avais jamais entendu parler de Kanthal, j'ai juste regardé l'offre d'emploi. En tant que technicienne qualité, il est nécessaire d'avoir le souci du détail, de savoir communiquer avec les autres et d'être organisé. J'ai juste pensé que ce sont des qualités dans lesquelles je serais douée. De plus, comme c'était un poste de stagiaire, cela supposait qu'il y aurait des possibilités d'évolution au sein de l'entreprise.
Qu'est-ce que vous aimez le plus dans ce travail. Est-ce la résolution de problème ?
Helena : Oui, la résolution de problèmes et la nécessité de décomposer les choses. Parler aux opérateurs et essayer de trouver la cause première du problème. Il y a beaucoup de travail de détective car il y a tellement de choses qui peuvent se produire, en fonction de notre produit et des attentes du client. Cela peut emprunter tellement de voies différentes.
Bryony : J'aime la variété que cela apporte. Chaque jour est différent, et il y a toujours de nouveaux problèmes à résoudre et des améliorations à apporter.
Et vos collègues ?
Helena : C'est ce que j'apprécie dans cet endroit : l'esprit d'innovation. Peu importe à qui vous parlez d'un problème, ce n'est pas seulement votre problème, tout le monde participe. Cela arrive sur beaucoup des projets que nous menons. Nous invitons une personne de chaque service dans la salle de conférence et nous discutons de tout en détail. Cela aide beaucoup. Il y a vraiment un bon esprit d’équipe ici.
Bryony : Oui, nous sommes une bonne équipe. Nous sommes cinq dans notre bureau du service des technologies, et il y a toujours quelqu'un avec qui discuter de vos problèmes et proposer de nouvelles idées. Tout le monde est vraiment solidaire.
Parlez-moi de certains de vos apprentissages depuis que vous avez commencé chez Kanthal.
Helena : Ne pas compliquer les choses. Essayer de ne pas trop se prendre la tête et d'avancer pas à pas, sans chercher à tout régler sur-le-champ. Il est parfois préférable de se poser et de réfléchir avant de tenter de régler le problème. Alors, voici l'essentiel à retenir : c'est bien de se donner du temps pour analyser un problème, sans ressentir le besoin de le résoudre dans l'urgence.
Bryony : Pour moi, c’est mon premier emploi sérieux après l’université, alors j’ai beaucoup appris, que ce soit en termes de communication lors des réunions ou de la manière de m’exprimer et de partager mes points de vue. Cela a été très important pour moi.
L'industrie manufacturière est encore dominée par les hommes. Quels étaient vos sentiments avant de rejoindre à Kanthal, et quels sont-ils à présent ?
Helena : Dans mon emploi précédent, il n'y avait pas non plus beaucoup de femmes, donc ce n'est pas quelque chose qui m'a jamais dérangé. Parfois, c'est plutôt agréable d'être la seule femme. Mais il y a beaucoup plus de femmes qui deviennent ingénieures et qui occupent davantage de ces postes. Ici, tout repose sur le travail d'équipe, et il n'y a décidément pas de différence.
Bryony : Quand j’ai été embauchée ici, plusieurs personnes m’ont demandé si j’étais vraiment sûre de vouloir accepter ce poste, étant donné qu’il est dans un secteur majoritairement masculin. Et je me suis dit, pourquoi pas ? Cela ne veut pas dire que je n'y ait pas ma place. L'ambiance a toujours été très inclusive ici, donc cela n'a jamais posé de problème.
Que pensez-vous de l’avenir de Kanthal ?
Helena : C'est toujours intéressant, parce que nous explorons constamment de nouveaux marchés. Nous disposons de nouveaux produits adaptés à ces marchés, tels que l’électrification de l’industrie pétrochimique. Ou dans l'industrie des batteries lithium-ion, où Kanthal a de nombreuses opportunités pour progresser.
Bryony : De nombreuses innovations ont lieu, telles que la conversion du gaz à l'électricité, qui exige l'utilisation d'éléments de plus grande taille. Cela représente un plus grand défi pour nous, étant donné que cela teste les limites de ce que nous pouvons faire. Je trouve cela excitant.
Helena : Il y a constamment des nouveautés et des changements en cours. Il n'y a aucun autre endroit où je voudrais aller pour le moment.
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